Anchorage & Co.
Accompagner la Croissance des Personnes dans leurs Entreprises

Le métier de Coach selon Anchorage & Co.

Le coach a pour vocation d’accompagner des personnes, individuellement et/ou collectivement, dans leurs évolutions professionnelles, en vue de les aider à développer durablement : accroître et améliorer- leur autonomie dans leur fonctionnement avec autrui, leurs alter-egos / différents mais égaux, cela pour plus d’efficacité et de sérénité.

Il passe une grande partie de son temps à nouer, entretenir et dénouer des relations avec différents types d’interlocuteurs, eux-mêmes dans divers états d’esprit et situations : du prescripteur opérationnel (N+1) ou fonctionnel (RH), au cadre de 30 à 60 ans, lui-même dans une dynamique plus ou moins performante, selon la situation qui l’amène à demander (ou accepter) un coaching : la personne en recherche d’emploi n’est pas « sur la même longueur d’onde » et n’a pas les mêmes priorités ni enjeux, ni objectifs, que le jeune manager brillant Haut-Potentiel qui vient de se voir nommer patron d’une entité…

Tout ceci est à la fois gratifiant, ressourçant et épanouissant mais aussi épuisant et souvent frustrant, par l’énergie et la concentration que cela demande, tant dans la préparation que pendant les entrevues, qu’après… Entre ce qu’ « il faudrait en théorie pour résoudre le problème », et ce qu’il va se passer, en pratique, sur le terrain dans la réalité… il y a bien souvent une grande différence, due à la richesse et à la complexité de la nature humaine et des interactions relationnelles ! Car je crois que l’on ne change pas autrui, mais que je peux juste tenter de changer mon regard sur lui, voire l’aider… à se changer lui-même. Quel programme ! Et quand on sait que si ça réussit, c’est grâce au client, mais que quand ça rate, c’est de la faute du consultant » ! Y-a plus qu’à bien se tenir… A bon entendeur !

C’est cela qui me plaît dans l’exercice et la pratique de ce métier, où tout reste ouvert en permanence, grâce au regard que je peux porter sur les personnes (moi y compris) et les situations : un regard qui cherche plus à « envisager » qu’à « dévisager », à entreprendre qu’à juger. C’est cet effet « Pygmalion » qui caractérise si bien, selon moi, cette magnifique profession (de foi) : la croyance que chacun peut prendre sa vie professionnelle en mains, grâce à l’éventuelle aide passagère ou ponctuelle d’autrui, pour le plus grand bien de tous, en toute modestie par ailleurs… Le client a toujours, je crois, tant la solution en lui, que les moyens de la mettre en œuvre : il lui suffit juste, parfois, d’un petit coup de pouce (ou plus rarement, de pieds) (cf. la notion de « strokes », dans les signes de reconnaissance, notion qui me paraît fondamentale en coaching). »

« Un homme peut toujours faire quelque chose avec ce que la vie a fait de lui » (Camus, je crois ?)

Il est donc nécessaire que le coach, outre une diversification des ses modes d’interventions (par exemple : bilans de carrière, coachings individuels et d’équipes, outplacements, voire formations au management…) et des personnes auxquelles il s’adresse (différents types, secteurs et tailles d’entreprises) et qu’il accompagne (jeunes, plus âgés, experts, managers…), pense aussi à se ressourcer, tant par des moments d’accompagnement pour lui (supervision individuelle ou collective, groupes de pairs, et développement personnel, + formations) que par d’autres types d’activités : hobbies, passions, lectures, culture, sports, voire rêveries, écriture… y compris au service d’autrui. Mais cela n’engage que moi.

« Sincère, crédible et cool », tel est le bon coach, selon un confrère bien connu de la profession, affirmation à laquelle j’adhère totalement, et j’y travaille avec plaisir.

« Charité bien ordonnée commence par soi-même », car sinon, « les cordonniers risquent d’être les plus mal chaussés » ! Ca, c’est pour les nécessaires supervisions et travaux sur soi !

Enfin, tant pour les clients que pour les coachs : « Nul n’est prophète en son pays » !

En conclusion, d’une part, « l’entrainement ne finit jamais » (appris, en le vivant, dans les Forces Spéciales aux Commandos-Marines, école de management et de coaching, s’il en est) ;

D’autre part, « se dépasser est la seule course qui ne finit jamais » (slogan Porsche des années 80, maintenant, attention aux points du permis !).

Une dernière pour la route : Allez, « parce que vous le valez bien ! », et tellement plus, si vous saviez…

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